" Le discours
et les pratiques des chuchoteurs, nouveaux maîtres
et autres bonimenteurs ne sont en aucun cas de l'éthologie
!..."
________________________________________________
Harmony & Ethic
in Horsemanship - L'équitation du bon sens
Une autre manière
daborder le cheval
"Aujourd'hui l'éthologie est
un mot que l'on voit de plus en plus fleurir le long
des carrières et des ronds de longe divers. Cette
"mode" fait que cette expression a perdu tout
son sens et est devenue plus une affaire de marketing
que de connaissances. Et pourtant l'éthologie
est une science, celle de la biologie comparée
du comportement animale. C'est une science qui demande
des connaissances approfondies en biologie animale,
en génétique, en neurophysiologie. On
ne peut pas faire de l'éthologie sur une seule
espèce : on ne comprendra rien au comportement
d'un cheval ou de tout autre animal si on n'a pas déjà
une connaissance en éthologie fondamentale et
sur l'évolution des comportements liée
à l'évolution du vivant.
Aussi quand Donald U. Newe m'a demandé de
faire la préface de son livre ("Demande
à ton cheval") je fut tout d'abord étonnée
: pourquoi demander à moi scientifique de préfacer
un livre de "chuchoteur" que je ne voulais
surtout pas cautionner ? Puis nous avons discuter, échangé
nos points de vue, je l'ai observé travailler
et j'ai compris qu'il n'était pas un "chuchoteur",
que ce livre ne ferai pas l'apanage d'une méthode
de dressage (une de plus) permettant de conditionner
son cheval au bon plaisir du cavalier, mais plutôt
la description d'une philosophie, d'une approche global
de la relation homme-cheval, alors j'ai accepté....
En effet, caricaturer l'approche d'un être vivant
tel que le cheval par une suite de gestes, de formules
et de recettes toutes faites peut avoir des conséquences
graves. C'est pourquoi l'approche de Donald me parait
très intéressante. En effet en perpétuelle
recherche et évolution, Donald est toujours très
ouvert aux expériences des cavaliers et hommes
de chevaux qu'il côtoie, aux travaux des scientifiques
mais aussi et surtout au cheval lui-même.
Aussi notre rencontre nous permet tout naturellement
de mettre en relation des connaissances scientifiques,
éthologiques et la philosophie et l'expérience
du cavalier.
Il est intéressant de voir également que
Donald a choisit de travailler avec le cheval en limitant
au maximum le stress (ce qui n'est pas une donnée
générale de toutes les méthodes
dites douces ou naturelles)...Cette approche du travail,
en douceur basée sur des méthodes d'habituation,
permet donc un meilleur apprentissage même s'il
nécessite du temps et n'est pas aussi expéditif
que certaines méthodes que nous avons pu étudiées
et qui utilisent exclusivement l'inhibition conditionnée."
Dr. Nadège Miklas
________________________________________________
Ce document c'est long à lire,
mais ça en vaut la peine :
Les Chuchoteurs et
lEthologie
Rédigé par : Jean-Claude
Barrey, éthologue, Directeur de la Station
de Recherche, chargé de cours en éthologie
pour la formation continue T.A.C. à Paris VI,
intervenant pendant cinq années consécutives
en éthologie équine à lENE
pour la formation des élèves instructeurs,
intervenant dans plusieurs circonscriptions des Haras
Nationaux et dans des établissement denseignement
aux métiers du cheval, ancien cavalier de dressage
de 2ème catégorie, juge de dressage membre
du CFJD. & Nadège Miklas, Doctorat
en Biologie du comportement à Paris XIII. Unité
de Recherche en éthologie.
Soyons clairs
" Les éthologues de notre
station de recherche, saturés par le battage
médiatique autour dune pseudo-éthologie
et inquiétés par ladhésion
de la Fédération Française d'Équitation
et de nombreux cavaliers à cet endoctrinement,
se mobilisent pour remettre les choses au point. Notre
vocation première est de faire de la recherche
et de la diffuser et non de rentrer dans des
polémiques couvrant des intérêts
commerciaux certains, mais alors que la Fédération
Française d'Équitation officialise ces
pratiques, trop cest trop, et nous ne pouvons
plus laisser dire et faire nimporte quoi sans
réagir.
Tout dabord, le discours et les pratiques des
chuchoteurs, nouveaux maîtres et autres bonimenteurs
ne sont en aucun cas de léthologie !
Léthologie est la biologie comparée
du comportement animal. Cest une science qui demande
des connaissances approfondies en biologie animale,
en génétique, en neurophysiologie. De
plus on ne peut pas faire de léthologie
sur une seule espèce : on ne comprendra rien
au comportement dun cheval ou de tout autre animal
si on na pas déjà une connaissance
en
éthologie fondamentale et sur lévolution
des comportements liée à lévolution
du vivant. On ne peut comprendre les oiseaux que si
on sait comment fonctionnent les poissons et les reptiles;
pour comprendre les mammifères, il faut savoir
comment fonctionnent les reptiles et les oiseaux
Je doute fort que la génération spontanée
de nouveaux maîtres en éthologie équine
ait ce genre de connaissances ! De plus, lexpression
«équitation éthologique» ne
veut rien dire : léthologie est une science
dobservation, pas dintervention sur lanimal.
Si encore leur pseudo-éthologie était
sérieuse
mais ils propagent les erreurs
les plus extravagantes avec un aplomb extraordinaire
! En voici quelques exemples (hélas) non exhaustifs
:
Ils insistent sur le modèle prédateur
/ proie du rapport homme/cheval.
- Heureusement, la vie dun cheval, même
dans la nature, ne consiste pas à être
une proie permanente et les « programmes anti-prédateurs
» de fuite ou de défense nont pas
loccasion de fonctionner très souvent.
Pour ce qui est du prédateur, nous voyons ces
manipulateurs à peu près en permanence
dans des attitudes de primate chasseur, poursuivant
le cheval en
agitant un bâton, piétiner, et autres grimaces
que nous connaissons bien en primatologie dans les confrontations
entre mâles. Le bâton lui-même est
en fibre de verre laqué orange, qui a été
mis à la mode par Parelli sous le nom de «
carrot stick », le bâton carotte, parce
quil sen sert parfois pour caresser le cheval.
En bref, ils ont réinventé la cravache
de dressage
Notons enfin que « prédateur
» nest pas non plus un statut, mais une
activité vitale, la prédation, obligatoire
pour les carnivores, et facultative pour les omnivores
comme lhomme (chasseur-cueilleur). Celui-ci peut
très bien adopter un comportement «cueilleur
» et sinsérer dans la vie sociale
du cheval quil faut bien entendu connaître,
et non interpréter, ce qui nest pas le
cas général.
Ils prêtent au cheval une organisation sociale
de type humain, et parlent de « chef »,
de «dominant qui dirige », de « leader
ou de jument qui conduit la harde », et autres
fantaisies de livres pour enfants
Ils ignorent
que la structure sociale des chevaux est une structure
de petit harem en réseau (cest-à-dire
où tout le monde surveille tout le monde) dune
dizaine dindividus, poulains compris, où
chacun garde son autonomie et son indépendance,
et non une structure pyramidale avec un chef (où
tout le monde surveille un individu : le chef). Il ny
a pas de chef chez les chevaux (rappelons quun
chef est celui qui organise lactivité des
autres, un dominant est celui qui est prioritaire dans
laccès aux biens de consommation, et un
leader, celui dont lactivité paraît
intéressante aux autres qui ont, pour cette raison,
tendance à
limiter sans quil y soit pour rien). Les
règles à respecter sont de ne pas sécarter
du groupe (létalon étant chargé
de ramener les égarés par le herding,
qui est une activité de sécurité
et non une activité de chef), de respecter lespace
personnel et la priorité daccès
aux biens de consommation de ceux qui sont au-dessus
dans la hiérarchie de dominance et de faire
respecter les prérogatives correspondant à
son propre rang par ceux qui sont en dessous.
Donc, dans le groupe, personne ne dirige personne ;
cela nempêche pas un fonctionnement cohérent
du groupe basé sur limitation sociale,
laspiration sociale, la phobie de sécarter
et le respect de la hiérarchie de dominance,
qui entraînent une auto-organisation permanente
sans avoir besoin de « diriger ».
Ils ignorent quil existe différents
types dagressivité et pas seulement celle
du prédateur (que eux même utilisent
en permanence sous lappellation « méthode
douce ») :
- Outre lagressivité de prédation
il y a aussi lagressivité défensive,
lagressivité de compétition sociale
et lagressivité de dérivation dangoisse
ou dirritabilité. Elles ont des fonctions
fort différentes et nont en commun que
de mobiliser laxe H.H.A.
(hypothalamus/hypophyse/Adreno-cortical) que lon
appelle souvent « l axe du mal » parce
que cette mobilisation trop longue, trop violente ou
trop souvent répétée est à
lorigine de nombreuses pathologies.
Ils ignorent que la « soumission » obtenue
par les méthode du type « join-up »
est en fait
une aliénation pathologique connue sous le nom
de syndrome de Klüver-Bucy : Cette pathologie
est provoquée par les mises en fuite et les blocages
répétés du join-up et des pratiques
assimilées. Ces inhibitions de laction
cohérente du cheval entraînent une très
forte activation de laxe H.H.A. qui aboutit à
« shooter » lanimal par ses propres
endorphines et entraînent des lésions des
noyaux amygdaliens latéraux du cerveau limbique
(le cerveau des
émotions) par la libération de radicaux
libres provenant de mécanismes oxydatifs exagérés.
Les animaux ainsi traités « manifestent
une soumission extraordinaire. Ceux qui étaient
sauvages et avaient peur de lhomme se sont apprivoisés
et nont montré ni peur ni agressivité».
Ils ignorent que le niveau de développement
du cerveau du cheval, pratiquement
dépourvu de cellules au niveau du néo-cortex
associatif, ne lui permet pas de « comprendre
» au sens humain du mot.
- Le cheval natteint pas le niveau de la «
décentration » qui permet à lhomme
de se voir et de se mettre à la place de lautre.
Il reste à un niveau égocentrique et sensori_moteur
: il perçoit des sensations et il y répond
en fonction des programmes propres à lespèce,
de son tempérament, de son vécu et de
ses émotions. « Comprendre » nexiste
pas dans le cerveau dun cheval : il ressent et
réagit puis apprend en fonction du résultat
de son action qui active soit le circuit de la récompense
(M.F.B.), soit le circuit de la punition (P.V.S.). Les
centres de décision de laction restent,
chez le cheval, à létage émotif
du cerveau puisquil ne possède pas létage
logique dont lhomme dispose.
Ils ignorent que tout débourrage rapide fait
nécessairement appel à linhibition
conditionnée, qui mobilise le système
PVS et laxe HHA dont nous avons parlé pour
la «soumission ».
- Le cheval « shooté » aux endorphines
se laisse évidemment monter
et la méthode
paraît
douce car il ny a pas de violence apparente. Toutes
les pratiques qui visent à immobiliser
rapidement le cheval rentrent dans cette catégorie
et certaines basculent franchement du coté
de la maltraitance.
- Les méthodes réellement douces font
appel à « l'habituation » qui est
un mécanisme physiologique de désensibilisation
sensorielle progressive et non de blocage moteur. Elle
a linconvénient dêtre lente
(au minimum quinze jours à trois semaines) car
elle repose sur un grand nombre de répétitions
des stimuli avec une intensité faible au départ
puis
progressivement croissante.
Ils ignorent quun cheval adulte ne joue plus
et que les « jeux » pratiqués
ne le sont que pour lhomme
- La fonction du jeu, uniquement chez les jeunes, est
de roder les programmes dactions qui
seront utiles plus tard chez ladulte. Chez celui-ci,
les programmes « ouverts » du jeu se
referment et les comportements qui ressemblent tellement
à du jeu ne sont plus que des
fonctions dévacuation des tensions.
Ils ignorent que les agressions et les blocages
répétés quils font subir
en permanence à leur cheval provoquent obligatoirement
à plus où moins long terme des séquelles
variées.
- Nous avons filmé une jument prise de coliques
pendant les manipulations effectuées comme «
démonstration » par un intervenant connu
et apprécié du public. Voici quelques
séquelles possibles liées au stress de
linhibition de laction, relevées
dans diverses publications scientifiques :
- Diminution du flux sanguin dans des zones du cerveau
participant à la motivation et à la décision.
- La corticostérone produite entraîne des
morts cellulaires dans lhippocampe, partie du
cerveau impliquée dans la mémoire et lapprentissage.
- Laccoutumance aux endorphines produites entrave
la prolifération des cellules granulaires du
même hippocampe.
- Troubles de lattention, de lanticipation
et de la prise de décision.
- Troubles du sommeil.
- Syndrome de résignation, syndrome de Klüver-Bucy.
- Ulcération gastrique, fréquente chez
les trotteurs.
- Micro-hémorragies intestinales se traduisant
par des coliques.
- Tics variés (tic aérophagique, tic à
lours, hyperkinésie).
- Baisse importante des défenses immunitaires
(hyper sensibilité aux maladies banales, au parasitisme,
etc
)
- Etc
Ils ignorent que la vision nest pas le sens
de référence du cheval, mais que cest
toujours à lolfaction que le cheval se
réfère en dernier ressort.
- La position latérale des yeux lui donne une
vision panoramique étendue, mais pas de vision
binoculaire donnant la vision du relief. Il ne possède
pas de fovéa sur laquelle l'il humain centre
les images à laide des muscles oculo-moteurs.
Ses cellules ganglionnaires sensibles sont concentrées
sur une étroite ligne naso-temporale, et le sens
du relief est provoqué par le
déplacement de limage le long de cette
ligne, l'il restant relativement fixe. Pour percevoir
le relief, il faut donc que lobjet soit en mouvement
par rapport au cheval ou que lui-même se déplace
par rapport à lobjet. Cela est particulièrement
important pour la perception du relief dun obstacle
et lon voit bien que, dans un saut de pied ferme,
soit il saute avec une très grande marge de sécurité,
soit il passe carrément à travers. Dautres
caractères, comme la forme non sphérique
de la cornée et un nombre daires visuelles
dans le cerveau plus réduit que nous, le spécialise
dans la détection très fine du moindre
mouvement. Mais, par ailleurs, il essayera toujours
de vérifier ce quil a vu en allant sentir,
lolfaction restant son sens de référence.
Laudition, elle, par la position des oreilles,
indique vers quoi le cheval porte son attention, et
les deux oreilles tournées vers larrière,
mais non plaquées, indiquent quil porte
son attention vers ses sensations corporelles, par exemple
lorsque nous utilisons une action des aides.
Ils ignorent que faire faire demi-tour à
un cheval sur la piste, tête vers lextérieur,
en lui barrant le passage, constitue une agression caractérisée
( un chien de chasse fait ainsi changer de direction
l'animal qu'il poursuit ) provoquant fuite et stress.
- De récents enregistrements au cardio-fréquencemètre
effectués dans notre station sur le changement
de main par aspiration vers lintérieur
et par barrage et demi-tour par lextérieur,
ont montré que la première méthode,
pour un cheval donné, maintenait le rythme cardiaque
aux environs de 130 pulsations et entraînait même
une baisse de plusieurs points pendant le mouvement.
Au contraire, la seconde méthode entraîne
un pic brutal de fréquence qui monte aux environs
de 200 pulsations. Il en est de même pour les
pratiques du genre join-up qui entraîne, non plus
un pic, mais un large palier durable à cette
fréquence très élevée.
CONCLUSION :
Nous arrêterons là cette énumération,
car on pourrait écrire un livre entier avec ce
quils ignorent et enseignent néanmoins
avec aplomb, sans aucune qualification ou avec des diplômes
auto-créés au dépend de ceux qui
ont passé du temps à obtenir un B.E. Lanalyse
éthologique des écrits, des discours et
des pratiques sur le terrain de chacun deux qui
a été entreprise par notre station de
recherche fait ressortir que :
- Tous sont des manipulateurs efficaces de chevaux (
et pas seulement de chevaux ! ), se préoccupant
peu du bien fondé de leur discours ou de leur
pratique du moment quils obtiennent des résultats
rapides et, de préférence spectaculaires,
ce que Georges Charpak appelle « leffet
Barnum ».
- Ils utilisent des méthodes qui nont rien
de nouveau puisquelles sont utilisées depuis
des décennies dans le dressage des chevaux de
cirque que nous avons étudié dès
les années soixante. Elles sont basées
sur des conditionnements de type S et sur des inhibitions
conditionnées qui ont pour résultat de
« robotiser » le cheval, ce qui est utile
pour le spectacle mais mène à une impasse
en ce qui concerne léquitation classique.
- Leurs écrits et leurs discours, particulièrement
adroits, sont très plaisants et correspondent
très bien au discours que les cavaliers, déçus
de la pédagogie actuelle, sont heureux dentendre.
Les mots respect , confiance, accord du cheval, etc.
reviennent sans cesse alors quil faudrait parler
daliénation.
- Car, malheureusement, leur pratique ne correspond
jamais au discours qui laccompagne. Cette pratique
est dautant plus dangereuse que la violence quelle
utilise nest pas une violence visible de lextérieur.
Elle sapparente plutôt à ce quon
connaît chez lhomme sous le nom de «
lavage de cerveau ». Nous avons vu et enregistré
un cheval faire une colique et un autre sarrêter
en sueur, la verge pendante, ce qui signe un taux élevé
dendorphine dans le sang....."
________________________________________________
Votre cheval est
il heureux ?
Le mot "bonheur" peut paraître
subjectif, mais il correspond à une réalité
éthologique bien précise. Comme tout organisme
animale ou humain, le cheval possède dans son
système nerveux un répertoire de fonction
biologiques qui lui
permettent de vivre. Ce sont les fonctions de récupération,
de subsistance, de relation et de sauvegarde. Dans cet
ordre là, elles mettent en uvre des tensions
nerveuses croissantes, génératrices de
stress. Chaque fonction est programmée pour s'exprimer
selon un certain "volume" qui correspond au
besoin quotidien normal de l'espèce, dans l'environnement
qui a façonné ses programmes génétiques.
Par exemple, pour ingérer les quelques 60 kg
d'herbe qui constituent son repas, il soit donné
12 à 15 heures par jour et environ 10 000 coups
de mâchoire. Ce nombre est fixe pour un cheval
donné. S'il peut les utiliser en mangeant un
aliment très dilué comme l'herbe, sa tension
nerveuse s'abaisse progressivement en même temps
que s'évacue l'énergie nerveuse stockée
pour remplir cette fonction: on peut dire qu'il est
heureux. Mais s'il ne peut les utiliser, parce que son
alimentation concentrée en granulés est
avalée en 2 ou 3000 coups de mâchoire,
il tentera d'abord de les dérivés vers
un autre objet, il rongera la porte de son box, se grattera,
et finalement développera des maladies visibles
comme le "tic aérophagie" ou moins
visibles comme une tendance aux coliques ou une baisse
des défenses immunitaires.
Il en sera de même pour les 4 autres fonctions
dont nous avons parlé et qui permettent au cheval
de vivre sa vie de cheval, dans laquelle l'homme n'était
pas génétiquement prévu..."
________________________________________________
|